07 mai 2001, 0h00
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Difficile de prétendre que la structure éminemment curieuse du capital de Heineken a freiné sa croissance.
Le brasseur néerlandais, détenu à 50,05 % par une holding cotée en Bourse et contrôlée par la famille Heineken, est désormais numéro deux mondial. Avec des bénéfices et des marges supérieurs à 10 % et une envergure internationale qui lui permet de formidables économies d’échelle, la société s’échange à environ 11 fois son ratio VE/EBE, soit une prime de 15 % par rapport à ses pairs.
Le titr...
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