19 novembre 2004, 0h00
Partager
Le Conseil fédéral a sans doute très partiellement répondu jeudi à l’attente de tous ceux qui espéraient qu’il ait une bonne fois le courage de mettre un terme à la fameuse «usine à gaz» ou au «plat de spaghettis», chers à l’ex-conseillère fédérale Dreifuss, débouchant sur un pilotage déficient du système de formation supérieure et de recherche dans ce pays. Il sabrera tout de même des structures vétustes et proliférantes, mais de manière bien modeste aux yeux de beaucoup, Pascal Couchepin ne rê...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT