11 juillet 2005, 0h00
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Pendant les débats sur le programme d’allégement budgétaire 2004 (PAB 04) durant la récente session d’été des Chambres, c’était frappant: les arguments de Hans-Rudolf Merz ressemblent de plus en plus à ceux de Kaspar Villiger, son prédécesseur au Département fédéral des finances.
Certes, le souci que l’Etat vive selon ses moyens et non selon ses envies était bien présent. Mais l’Appenzellois est soudainement possédé par le même souci d’équilibre que le Lucernois. Certes, le PAB 04 a une nouvell...
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