17 décembre 2003, 0h00
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Le nouveau ministre des finances Hans-Rudolf Merz aura sans doute moins d’appréhension que Christoph Blocher lorsqu’il recevra les clés de son département des mains de Kaspar Villiger. Aucun des dossiers dont il hérite n’est fondamentalement combattu par son propre parti ou par l’UDC. Au pire, on lui reprochera qu’il ne va pas assez vite. Par contre, s’il réalise tous les espoirs que la droite met en lui, il a intérêt à se protéger sur son flanc gauche: les sujets de disputes ne manqueront pas.
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