21 décembre 2001, 0h00
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C’est demain que Hamid Karzaï prend officiellement les rênes du gouvernement intérimaire pour six mois, avec pour mission d’inaugurer une nouvelle ère pour l’Afghanistan: la fin de deux décennies de violence et une marche vers la démocratie. Inutile de préciser que la tâche est ardue, surhumaine même. Jamais l’Afghanistan n’a connu d’état moderne, sans parler de démocratie. Sous le roi Zaher, âge d’or où le pays vivait en paix, l’état central brillait surtout par sa faiblesse. Le pouvoir était p...
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