16 mars 2001, 0h00
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Dans l’imaginaire de certaines personnes, l’hypnose a conservé, hélas, un aspect a priori paranormal, voire occulte, qui est bien loin de refléter toutes ses possibilités thérapeutiques.
En Suisse, de nombreux psychiatres, dont l’illustre Bertrand Piccard, s’en servent pour résoudre des problèmes que la psychanalyse mettrait des années à formuler, sans forcément d’ailleurs permettre au patient de les surmonter.
L’auto-hypnose, que l’on pourrait aussi qualifier de programmation mentale, propose d...
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