24 janvier 2000, 0h00
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Nous savions, en effet, depuis deux ans au moins trois choses: la Principauté figurait en bonne place sur la liste des centres «offshore» à déstabiliser; la mise en scène et le script du film avaient été confiés à des médias et à des officines pratiquant davantage l’espionnage économique que le journalisme d’investigation; l’opération devait enfin, être couplée à une attaque contre la CDU allemande.
Le «pilonnage» de Vaduz s’inscrit bien, il faut en convenir, dans la stratégie globale de déstabi...
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