04 novembre 2003, 0h00
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Pas facile de se faire une idée sur l’évolution et l’avenir du groupe Jan. Celui-ci ne bénéficie que d’un mois pour se sauver ou disparaître à jamais. Le sursis provisoire ne court en effet que jusqu’au 2 décembre, et le juge Martin décidera, ce jour-là, s’il prolonge ou non le sursis concordataire de la société. On le sait, le groupe Jan, avec ses déboires, sa cacophonie et ses luttes d’influences, a fait la une des journaux ces dernières semaines. Coup bas et effets de manchettes ont finalemen...
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