21 décembre 2009, 0h00
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«On va vers un futur qui n’est pas rose, on peut dire qu’on va vers une impasse». En recevant la presse hier, Philippe Virdis, directeur général, ne jouait pas les Cassandre. Il a surtout cherché à démontrer, face à la pénurie d’électricité annoncée, que le Groupe E, l’un des dix plus importants acteurs sur le marché suisse, s’engage fermement sur les quatre piliers de la politique énergétique nationale (efficience, énergies renouvelables, échanges avec l’étranger, nouvelles centrales).
Comme ...
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