08 juin 2005, 0h00
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Les patrons des banques centrales américaine et européenne ont encouragé la Chine à réévaluer sa monnaie. Ils n’ont pas pour autant augmenté la pression sur Pékin qui entend rester maître du calendrier.
Si le président de la Réserve fédérale américaine (Fed) Alan Greenspan a estimé mardi que la Chine avait tout intérêt à adopter un taux de change plus flexible, il a toutefois précisé que cette mesure aurait peu d’impact sur l’économie américaine, contrairement aux affirmations de politiciens et...
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