18 octobre 2004, 0h00
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Dans un discours à Washington, le président de la réserve fédérale américaine (Fed) Alan Greenspan s’est voulu apaisant vendredi sur la flambée des cours du pétrole, jugeant qu’elle pèserait moins sur l’économie que les chocs pétroliers des années 1970, même s’il a souhaité des prix plus sages.
Deux raisons au choc pétrolier actuel
L’augmentation du prix des importations de pétrole a amputé le produit intérieur brut de 0,75 point, selon ses estimations. M. Greenspan a identifié deux raisons pr...
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