19 septembre 2003, 0h00
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Le départ de Dick Grasso devrait être envisagé comme une occasion de faire le ménage dans le monde de la gouvernance, et non pas seulement au New York Stock Exchange, mais aussi dans l’ensemble du monde de l’entreprise aux Etats-Unis.
Sous Grasso, le NYSE n’a pas a été un exemple de bonne gouvernance. Et il a été suivi dans une certaine mesure. L’arrogance du CEO, le copinage du conseil d’administration et les rémunérations excessives de Grasso ont eu des échos dans plus d’une compagnie américa...
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