26 juin 2001, 0h00
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Vous voulez obtenir des faveurs de la part du gouvernement? Brandissez la menace de repreneurs étrangers et de suppressions d’emplois. Et, tant que vous y êtes, faites planer l’ombre de Rupert Murdoch. Telle serait l’interprétation cynique du courrier adressé la semaine dernière par Granada à Tony Blair, et révélé à la presse par des indiscrétions.
Le britannique, spécialisé dans les médias, et son partenaire Carlton Communications cherchent désespérément l’aide de M. Blair afin d’endiguer l’hém...
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