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Grâce à des exportations à des hauts niveaux, on gagne plus d’argent mais toujours avec moins de pièces

En 1998, tout le monde criait au miracle, tant le chiffre des exportations horlogères suisses était bon. En 1999, on n’en revenait pas d’avoir dépassé les records absolus. Et 2000 pourrait bien suivre dans le même ordre d’esprit.

02 juin 2000, 0h00
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Le moins que l’on puisse dire c’est que les horlogers suisses sont contents après les cinq premiers mois de l’année. La tendance des exportations reste à une forte progression des valeurs et il semble bien que la tendance prise durant les quatre premiers mois sera maintenue. Si tout devait continuer ainsi durant les 7 derniers mois de 2000, l’horlogerie suisse, en valeur toujours, aurait atteint des niveaux qui appartenaient au rêve il y a encore quelques semaines. Pour être un peu plus concret,...
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