04 janvier 2005, 0h00
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Conséquence logique de l’euphorie dans laquelle s’est déroulée la première phase de l’ouverture du monde, le concept de délimitation – ou carrément l’existence de frontières en tant que telles – a été perçu comme le signe d’un conservatisme incorrigible, voire d’un ressentiment raciste. Qui pourrait vouloir d’une telle étiquette? C’est là un des éléments qui se dissimulent derrière le rêve d’expansion des politiciens européens. L’idée d’une dématérialisation des frontières séduit et fascine nota...
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