12 octobre 2005, 0h00
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Gilles Pélisson, grand amateur de romans policiers, n’aurait pas renié le feuilleton scabreux dont il a tenu un des premiers rôles. A ses yeux, ce genre de littérature est autant de réflexion sur le pouvoir que de mise en scène des batailles d’ego. Toujours est-il que le (mauvais) thriller Accor a connu lundi soir son épilogue. Après des mois de rumeurs, de rebondissements, de coups bas et de démentis qui ont violé tous les principes de bonne gouvernance, Gilles Pélisson, futur ancien patron de ...
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