09 octobre 2001, 0h00
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Les Européens opposent volontiers et souvent agressivement secteur privé et secteur public. L’Europe n’est pas l’Amérique où les allers-retours incessants de personnalités de premier plan entre le «privé» et le «public» sont monnaie courante. Mais même sur le Vieux Continent – Suisse comprise –, la porosité entre ces deux mondes est aujourd’hui très forte. Et, signe qui ne trompe pas, le vocabulaire pour désigner la gestion de la «chose publique» change. Il y a encore quinze ans, on parlait de «...
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