16 octobre 2003, 0h00
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Le chancelier allemand Gerhard Schröder joue, ce vendredi, la carte la plus importante de sa carrière. Il tentera d’arracher à sa coalition rouge-verte une réforme des assurances sociales, doublée d’une réduction de la fiscalité des entreprises évaluée à 19 milliards de dollars. En soi, la réforme n’est pas très spectaculaire si on la décompose, mais elle est hautement symbolique pour l’Europe sociale. Clairement, l’Allemagne met fin à la croissance sans fin d’un filet social qui a fini par hand...
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