19 janvier 2005, 0h00
Partager
Depuis qu’ils ont été libérés le 21 décembre 2004, Georges Malbrunot et Christian Chesnot ne cessent de revivre leur quatre mois de détention en Irak. D’abord l’espoir d’être rapidement libérés, puis le doute lorsque les négociations s’enlisent. Et l’angoisse. Le 8 novembre, l’Armée islamique en Irak leur dit qu’ils peuvent mourir à tout instant. Georges Malbrunot était hier à Fribourg.
Georges Malbrunot, n’avez-vous jamais perdu espoir?
Au début, nous étions convaincus que notre libératio...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT