05 juillet 2000, 0h00
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A la fin des années soixante, un philosophe américain aujourd’hui oublié, Herbert Marcuse, expliquait dans des ouvrages alors dévorés par la nouvelle génération, que les élections présidentielles américaines étaient une farce. Quel que soit le candidat choisi, le «système» avait pour effet d’obliger le président des Etats-Unis à perpétuer l’ordre des choses sans qu’il puisse apporter un changement significatif. La position de Marcuse était excessive et, pire encore, un oreiller de paresse. Car u...
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