George Bush revoit sa mise en quarantaine de Pyongyang et admet qu’il faut se soucier du réchauffement global

Le président Bush vient de prendre deux décisions qui réorientent des secteurs importants de sa politique. Sans rapport entre elles dans leur substance, elles sont le fruit d’un même processus bien anglo-saxon de «trial and error», de tâtonnements. L’une, c’est qu’il va reprendre les contacts avec la Corée-du-Nord, qu’il avait sèchement gelés le 7 mars, à la surprise de son ministre des Affaires étrangères Colin Powell qui avait dit juste la veille qu’on allait reprendre les pourparlers avec Pyo...