22 mars 2001, 0h00
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Lorsque le groupe Richemont avait lancé son Salon international de la haute horlogerie de Genève, c’était la «soupe à la grimace» du côté de Bâle. A coup de petites phrases assassines, de déclarations dans les médias, les uns et les autres faisaient savoir tout le bien qu’ils pensaient de ceux d’en face. Puis, comme les guerres larvées n’ont pas d’avenir, les choses se sont apaisées et les deux manifestations, qui sont fondamentalement différentes il faut le souligner une fois de plus, ont retro...
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