19 mai 2006, 0h00
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«Dans un premier temps, les cellules souches embryonnaires humaines (CSE) vont surtout devenir indispensables au développement de tests de toxicité de médicaments.» Quant aux thérapies cellulaires, ce ne sera pas pour demain, insiste Marisa Jaconi, maître d’enseignement et de recherche au Département de pathologie et d’immunologie de l’Université de Genève. Les petits Graal de la médecine que sont ces cellules possèdent aussi bien le pouvoir de se répliquer indéfiniment en laboratoire que de se ...
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