14 septembre 2009, 0h00
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L’attitude du Conseil administratif de la Ville de Genève (le radical Pierre Maudet mis à part) démontre une fois de plus ce qui, au fond, caractérise la gauche genevoise. Son ambition majeure se résume en quelques mots: prélever des impôts. Le plus possible. Le plus longtemps possible.
On ne peut expliquer autrement son opposition à la réforme fiscale soumise au peuple le 27 septembre prochain. Car cette réforme n’est pas «un cadeau aux riches», comme le prétendent les frères (et la sœur) Dalt...
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