29 mai 2001, 0h00
Partager
L’heure de vérité sonnera mercredi pour le patron de Gazprom, Rem Viakhirev, dont le départ est jugé indispensable pour faire basculer dans l’ère des réformes la plus grosse société russe, mais à quelques heures du verdict personne ne se risquait à jurer de la décision du Kremlin. La nomination du chef de Gazprom est «l’équivalent économique de l’élection présidentielle russe», assure Roland Nash, analyste de la société d’investissement Renaissance Capital. L’actuel mandat de Rem Viakhirev, 66 a...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT