24 juin 2005, 0h00
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«Nous voulons que gaz de France soit la valeur préférée des Français.» C’est par ces mots que Jean-François Cirelli, le PDG de l’entreprise publique, a lancé, hier, la privatisation partielle du groupe gazier. Mais après qu’il soit resté sur les bras des banques d’importantes tranches d’actions France Télécom lors de l’émission du 6 juin dernier, il lui faudra plutôt convaincre les investisseurs internationaux de l’intérêt de l’investissement proposé.
Selon les informations communiquées, hier, ...
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