02 juin 2010, 0h00
Partager
En cas de faillite de la Grèce, tous les épargnants et investisseurs qui détiennent des titres grecs subiraient des pertes. Ce serait le cas des Français (17%), des Allemands (10%), des Italiens (7%), des trois pays du Benelux (environ 5% chacun). Il faut ajouter le risque d’un effet domino sur d’autres membres de la zone euro et l’impact sur la stabilité de la monnaie qui leur est commune. Si donc l’euro est menacé, c’est aussi bien la monnaie des Allemands qui est en danger que celle des Grecs...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT