28 novembre 2001, 0h00
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Vice-président d’une organisation d’employés de banque, j’aimerais exprimer mon inquiétude face à l’aveuglement de ceux qui exigent l’introduction d’un impôt sur les gains en capital. On veut nous faire croire qu’il suffit de «faire payer les riches». Mais qui en supportera vraiment le prix? Une fois de plus, ce sont les collaboratrices et les collaborateurs des banques. Car tous les impôts financiers ont conduit aux mêmes désastres: délocalisation d’activités à l’étranger, suppression d’emplois...
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