12 juin 2003, 0h00
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En découvrant la ville de Genève fermée, murée, désertée vendredi 30 mai, j’ai été partagé entre des sentiments de honte et de colère. Honte d’habiter une ville où les responsables politiques et économiques ont choisi de se couvrir, de se cacher, de fuir devant quelques contestataires et tagueurs (parfois très inspirés) qui on eu beau jeu de se moquer de la parano de «l’establishment genevois». Colère de constater que personne ne démontrait et ne démontait les arguments simplistes, naïfs et souv...
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