23 décembre 2004, 0h00
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Pour la troisième fois de sa carrière, Werner Seifert, le Suisse qui dirige la Deutsche Börse, voit dans le rachat d’une Bourse concurrente la planche de salut de la sienne. Cette fois, c’est du sérieux. Son offre de 3 milliards de francs pour racheter le London Stock Exchange (LSE) puis l’entrée en lice d’Euronext, le marché né de la fusion des Bourses de Paris et du Benelux, ont lancé la surenchère. Euronext ayant fait miroiter l’expérience d’une fusion réussie, les Allemands ont aussitôt prom...
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