27 avril 2005, 0h00
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Fulvio Pelli aurait préféré plus de discrétion. Mais les journaux dominicaux alémaniques ne l’ont pas entendu de cette oreille. Ils ont étalé avec délectation dans leur colonnes le fait que le nouveau président du PRD suisse a décidé de la semaine passée mettre les relations avec les radicaux zurichois sous sa responsabilité personnelle directe.
De là à y voir une mise sous tutelle, il n’y a qu’un pas. Après tout, le PRD zurichois vient de traverser un épisode peu glorieux après la défaite du c...
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