21 avril 2008, 0h00
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On lui reprochait d’être trop flou, trop mou, trop intellectuel. Au moment où l’UDC continuait sa progression et monopolisait les projecteurs médiatiques, Fulvio Pelli n’était plus, aux yeux de nombreux radicaux, l’homme de la situation. Samedi, au congrès de son parti, Fulvio Pelli s’est montré clair, pugnace, tranchant, fier d’être radical. Et il fut très applaudi.
Le Tessinois a repris, il y a trois ans, la présidence du parti. Sa mission était évidente: stopper la spirale du déclin. Samed...
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