08 juillet 2003, 0h00
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Les éléments d’un méchant scénario sont en train de se mettre en place pour les actionnaires d’Orange. Le gouvernement français a des raisons de légiférer pour se donner à lui-même les moyens de faire baisser sa participation dans France Telecom en dessous de 50%, ainsi que dans la compagnie de téléphonie mobile qui lui est affiliée. Une clause de privatisation permissive renforcera l’image de FT à Bruxelles, où le gouvernement est en train d’essayer de convaincre les régulateurs de l’Union euro...
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