04 août 2000, 0h00
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«Je présiderai encore une année les Fêtes de Genève avant de céder ma place. Je milite pour une présidence de quatre ou cinq ans, pas plus. Il faut savoir s’arrêter à temps afin que de nouvelles idées apparaissent». Un discours bien inhabituel dans la bouche d’un responsable d’une manifestation dont le budget total frise les 5,5 millions de francs. Frédéric Hohl a été promu président des Fêtes de Genève en 1997. Un titre qui résonne trop politique, trop honorifique pour ce jeune entrepreneur-art...
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