05 juillet 2007, 0h00
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Avant même de prononcer son discours de politique générale, le premier ministre français, François Fillon, déclarait avant-hier qu’il voulait «sortir la France de sa dépression nerveuse». Le sang des libéraux n’a dû faire qu’un tour. Serait-ce à l’Etat de s’occuper de l’âme des citoyens? Déjà que nous avons non seulement des droits de l’homme, mais aussi des socialistes qui n’ont de cesse de vouloir aider les plus démunis! Et maintenant, après la victoire de Nicolas Sarkozy, on monte encore d’un...
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