France Télécom: «Quand la bise fut venue…»

Au plus fort de la «bulle technologique», France Télécom avait financé une partie de ses acquisitions – Orange, Mobilcom, NTL ou Equant – par échanges d’actions avec option de vente. Or, le prix de ces options paraît, a posteriori, d’autant plus onéreux que France Telecom se trouve déjà fortement endettée. Certes, il n’y a là rien de nouveau. Ce qui l’est davantage, c’est qu’E.ON, leader allemand de l’électricité, dispose d’une option de vente de 1 milliard d’euros sur des actions Orange. L’Alle...