06 avril 2005, 0h00
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François Paul Journe arbore un sourire bien compréhensible: l’horloger a réalisé le rêve qu’il caressait depuis longtemps: une indépendance quasi-totale par rapport à ses fournisseurs. «Quelque 80% des composants sont fabriqués dans mes propres ateliers.» La société Montres Journe, qui expose ses collections dans ses locaux alors que les salons horlogers battent leur plein à Genève et à Bâle, a toutefois dû investir massivement pour parvenir à cette autonomie presque complète.
Le maître mot? ...
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