27 novembre 2007, 0h00
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Fort de son contrat historique en Chine, le groupe nucléaire français Areva entend se développer seul, sans partenaire à son capital, qui suscite des convoitises et que l’Elysée songe à refondre pour notamment y faire entrer le groupe industriel Alstom.
Le leader mondial du nucléaire a signé lundi à Pékin le plus gros contrat de l’histoire du nucléaire civil avec la vente, pour 8 milliards d’euros, de deux réacteurs de troisième génération EPR et leur combustible.
A peine ce contrat signé, la ...
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