29 mars 2001, 0h00
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On le disait dans un état délicat il n’y a même pas deux ans. Sain sur le plan financier, certes, mais trop diversifié dans ses activités, ce qui nuisait à sa rentabilité. Or, depuis que Werner Kummer a pris les rênes de Forbo, les choses ont bien changé. Les derniers désinvestissements en date concernent les films de décoration, vendus à l’allemand Hindrichs-Auffermann, et les revêtements textiles profilés, cédés au français Ferrari. De sorte que le groupe doit encore se séparer des textiles en...
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