07 avril 2015, 22h12
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Dans ces colonnes, Andreas Höfert, Chef Economiste d’UBS Wealth Management (lire l'article), a réagi à ma prise de position du 23 mars dernier dans le quotidien Le Temps rejetant l’idée d’un Fonds souverain financé par les réserves de change accumulées par la BNS ces dernières années. Ma position négative s’articulait autour de trois arguments (a) les réserves acquises par la BNS ne sont pas de l’épargne véritable, comme le Fonds norvégien, mais le résultat des interventions de la banque sur le ...
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