23 octobre 2009, 0h00
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Oui, le G20 fut vain, pour reprendre le mot de Jacques Attali. A Pittsburgh, des mots ont été prononcés, beaucoup de mots et peu de véritables décisions prises. Mais la Suisse n’y participait pas. Hans-Rudolf Merz annonce que le Conseil fédéral est «préoccupé par cette absence» et qu’il va «réexaminer sa position». Car, ajoute-t-il, en l’espace d’un an, le G20 est quand même devenu le plus important forum international consacré aux questions économiques et financières. «Certes, une participation...
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