14 février 2007, 0h00
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Les partis bourgeois et les milieux économiques dénoncent la demande de la Commission européenne, jugée comme une «ingérence». Ils attendent de la fermeté de la part du Conseil fédéral. Seul le PS estime que le gouvernement s’enferme dans une posture trop formaliste.
Il n’y a pas lieu de modifier la pratique fiscale suisse, estime le PRD. Pour lui, les accusations de l’Union européenne (UE) sont sans fondement et les exigences intenables. La Suisse ne fait pas partie de l’Union et peut donc déc...
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