08 juin 2001, 0h00
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Le chef des Finances fédérales, Kaspar Villiger, est allé dire hier, devant le très relevé International Benchmark Forum réuni à Bâle, que la concurrence fiscale est positive. Elle seule force à une allocation optimale des ressources dans une société. Bravo. Cela devait être dit dans le climat actuel. Surtout vis-à-vis de ceux qui, au sein de l’OCDE ou de l’UE, accusent la Suisse de mener une politique fiscale «dommageable» et prônent un alignement des fiscalités nationales. Cela revient à tente...
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