22 janvier 2004, 0h00
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Il y a un bilan qui ressemble un peu à celui de Parmalat avant que cette compagnie ne s’effondre: une dette, des masses de liquidités et des investissements à court terme. Ce bilan est celui de Finmatica. En plus, cet obscur fabricant italien de software a maintenant des procureurs sur le dos. Les magistrats de Brescia ont lancé une enquête pour savoir si cette compagnie a trompé les investisseurs quant à l’état de ses finances, manipulé le marché et empêché les autorités de régulation de faire ...
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