15 mars 2010, 0h00
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Mais ce qui s’est passé le 19 février marque à coup sûr, dans la finance globale, la fin d’une époque. Le bulletin émanant ce jour-là du Fonds monétaire international allait à l’encontre de la position que ses économistes avaient longtemps tenue en matière de contrôles de capitaux. Les taxes et autres contrôles sur les flux de capitaux, écrivaient-ils, ont leur utilité et constituent une «part légitime» de l’arsenal des dirigeants politiques.
Avec un bon sens dont le Fonds avait bizarrement m...
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