27 juin 2003, 0h00
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Alors même que les Italiens devraient soupirer d’aise, il est prévisible qu’ils ne le feront pas. La restructuration du groupe Fiat est certes de nature à sauver de la débâcle un constructeur plus que centenaire, mais l’Italie n’est pas un pays où l’on licencie sans dommage. Les syndicats y sont puissants – singulièrement la Confédération générale du travail, CGIL – et constituent ces temps-ci le fer de lance de la reconquête du pouvoir par le centre-gauche, au nez et à la barbe d’un Silvio Berl...
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