16 avril 2004, 0h00
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L’homme moderne est devenu dépendant. Dépendant de la bagnole et des paradis de liberté artificielle que la pub lui promet. Pas folle, la presse a flairé le bon coup: de même qu’on ne parle pas des trains qui partent à l’heure, on ne fait pas des titres avec des routes fluides. Tandis qu’avec des mois de bouchons en perspective, c’est tout un stock de premières pages, de reportages et de micros trottoirs qu’elle se prépare.
En Suisse romande, en tout cas, parce qu’outre-Sarine, entre Baden et W...
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