18 octobre 2001, 0h00
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«Nous allons nous concentrer sur nos compétences propres.» Glissée en novembre dernier à l’agefi, la phrase de Thierry de Loriol, directeur général de la banque Ferrier Lullin à Genève, prend aujourd’hui tout son sens. Conséquence directe de la chute des marchés qui pèse sur les volumes échangés et sur les courtages, cette ancienne banque privée genevoise restructure ses activités de recherche financière. Le nombre d’analystes a été pratiquement réduit de moitié ces derniers jours, pour se porte...
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