16 décembre 2003, 0h00
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Il était un jour un chocolat que tout bon écolier genevois connaissait, car il lui était distribué dans son école. Aux yeux des responsables scolaires, cette friandise avait deux avantages. Il donnait sucre et cacao aux petits élèves à une époque où ces denrées étaient encore rares. Et elle était fabriquée à Genève.
C’est ainsi que le nom de Favarger s’est imprimé dans une forme d’inconscient collectif du bout du lac. Et au-delà de la Versoix? C’est à peine si son évocation éveille d’autres sou...
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