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Faut-il craindre le grand «bear market» obligataire?

A priori, non! Une remontée drastique et durable des rendements paraît improbable en dépit de la violente correction enregistrée.

11 décembre 2001, 0h00
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La brutalité du renversement de tendance sur les marchés obligataires a incité certains commentateurs à proclamer la fin d’un «bull market» qui a débuté à fin 1981, lorsque les T-Bonds à 30 ans dégageaient des rendements de plus de 15%. D’aucuns estiment même que les rendements ont amorcé une remontée durable, synonyme de long «bear market» pour les obligations. Que penser d’une telle prophétie? La thèse postulant la fin du «bull market obligataire» n’est pas sans fondement. La décrue tendanciel...
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